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Salut, ça farte ?

["Un, deux. Un, deux. Test."]

C'est donc le grand retour de mon auguste personne. Oui, "ça manquait", comme vous dites, dissimulés derrière un masque d'hypocrisie dont la laideur ferait pâlir un troll.

" Ju ?
- Hum ?
- Tu as donc décidé de reprendre tes dialogues de schizophrène ?
- Pas du tout.
- Ben... et tu fais quoi là ?
- Là je réponds consciencieusement à tes questions.
- Ce sont aussi tes questions.
- Oui.
- Donc c'est bien l'attitude d'un schizophrène !
- Non.
- Ah bon ?
- Oui.
- Ah bon."


Pourquoi ici ? Pourquoi maintenant ? J'y arrive...

1°) Pourquoi ici.

Ici c'est mon blog. Je ne me justifierait pas une nouvelle fois sur l'intérêt d'entretenir un blog (si une absence de 3 mois est considérée comme un entretien...). Rapidement, ça se justifie aussi par le fait que j'ai besoin d'écrire, un peu partout et un peu sur n'importe quoi. Et le n'importe quoi s'est fait rare dans ma vie ces derniers temps, je me suis retrouvé dans une banalité débile que je n'avais pas connue depuis plus d'un an. En gros, j'ai perdu le goût du délire. Et oui, c'est très très triste. Plaignez-moi. Merci. Donc ici, disais-je, c'est un endroit où je n'ai pas vraiment peur de ce que j'écris puisque personne ne vient me lire, petite observation en écho à l'article que j'avais publié sur l'aspect pathétique des blogueurs. Mes mots ont fait mouche, même sur moi. J'assume dans le même temps les quolibets cucu-la-praline qui me qualifient de "looseur", "ringard" ou de "paumé de la vie". Oui, j'aime quand on m'insulte.

2°) Pourquoi maintenant.

Je suis sous l'emprise avancée de l'ambiance festive des deux prochaines semaines. Dans ces 2 semaines, je ne compte pas la semaine de merveilleuses partielles qui arrive. Du coup, ça m'excite.
En plus je me sentais coupable de vous abandonner, vous mes chers lecteurs, à ce virtu-cruel monde. En plus j'ai un roman sur le feu. Et en plus, je croule sous les révisions. Et en plus j'ai toujours des tas de pensées qui trottent.

C'est pas tout ça mais faut que je bosse ! Rendez-vous sur l'article suivant !

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